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- Les demandeurs : 1 - la
Société DYNAPUB - DYNAFLON - DYNAVENTES
sarl 5/7 rue dAguesseau - 69007 LYON -
établissement secondaire Siège social : Les
Salles 43190 TENCE capital 204 000 F SIRET 333 072 866
00010 APE 515 L représentée par son
gérant en exercice
2 - Habib EL HAIBI, ne le 20 01
1953 à Zabbougha - Liban, de nationalité
française, Domicilie au 4 rue Salomon Reinach -
69007 LYON
- Élisants domicile a
dynapub-dynaflon-dynaventes 5/7 rue dAguesseau -
69007 LYON
Dans laffaire les opposant
à m. Philippe TOLLET, M. Georges TOLLET, FONCIA
JACOBINS, M. Maurice Emain, scp Bernard et Ramel, M.
Henry CHABERT, Mme Marie Chantal DESBAZEILLE, ville de
Lyon, M. Jean François GROS, préfecture du
Rhône
- LES FAITS :
- 1 démolition et construction et
changement de destinations sans permis sur
construction existantes de locaux professionnels (en
rez de chaussée) en habitation
- 2 perpétuation des malveillances
- 3 manquement aux obligations dofficier
de police judiciaires, rétention
dinformations intéressant le
ministère public, décision retardant et
entravant la mise en action de la justice
- 4 accès aux desiderata des
malfaiteurs par la attribution de permis de construire
alors que les infractions sont flagrantes
- 5 absence des autorités de
contrôle malgré les
dénonciations
- 6 impudence
- 7 mise en péril de laction de
la loi et de la justice par des autorités
- 8 mise en péril des biens
dautrui et de lintérêt
général, du tissu économique,
social et de la paix civile de tout lunivers
vital et professionnel des parties civiles
HISTORIQUE
Monsieur Philippe TOLLET, prévenu
n°1 et en collaboration active avec les
prévenus 3, et 5, démolissent, construisent
et changent la destination, sans permis de construire des
locaux commerciaux et professionnels situes en rez de
chaussée, en locaux a usage dhabitation, aux
adresses suivantes :
3 de la rue dAguesseau - 69007
LYON où les travaux ne sont pas finis alors que
le chantier est livre et exploite actuellement ! (le
flagrant délit est toujours constatable)
16 de la rue dAguesseau - 69007
LYON
... Puis les prévenus 1. 2. 4 et 3, fort de
limpunité lors des
précédents forfaits, et de cette
situation de non droit.... entament les travaux au
14 rue dAguesseau - 69007 LYON ; bien
avant le délai dopposition imparti aux
tiers par la loi voir même, bien avant la date
de délivrance dun permis
MOTIVATIONS
- Limpudence des prévenus 1, 2, 3,
4, et 5 à passer outre toute logique de droit et
de civisme par le mépris total des lois et des
institutions... et a comprimer leurs actions anarchiques
malveillantes et concertées ... puisque ils ont
tous des degrés avances de connaissances des
législations et des procédures ... du fait
de leurs fonctions et de leurs qualifications et ...
lorsque la partie civile prend conscience de
lirreversibilité des conséquence
catastrophiques des infractions à tous les points
de vue économiques, moraux, sociaux et de
securité... pour ses intérêts et son
milieu vital direct elle dénoncent par
écrit aux prévenus 7, 8, et 10 une mise
à mort subite di tissu structurel de tout un
quartier par lattribution de permis de changement
de destinations et de construire dans un sens contraire
à lintérêt
général et à ceux de la partie
civile.... à cette époque la partie civile
nimaginait pas que des bons citoyens
français de souche dans le stricte bon sens
bourgeois du terme pouvaient ignorer la loi et oser
lenfreindre au vu et au su des autorités
...(voir annexes 1 et 2)
- Le prévenu n° 7 assurait la partie civile
de la régularité des permis aux trois
adresses incrimines et que ces permis répondaient
à une demande ponctuelle; elle félicite
même la partie civile de
lintérêt quelle accorde à
la vie locale, (voir annexe 3), les prévenus 9 au
nom du 10 lui confirment aussi avoir pris bonne note de
sa dénonciation et regrettent leur
incompétence (voir annexe 6)
- Il nen fallait pas plus pour persuader la
partie civile de la méconnaissance coupable des
dossiers de par les prévenus n°7, 9 et
exprime au prévenu n°7 sa volonté de
faire payer cher toute infraction qualifiée ou
laxisme (voir annexe 4)
- Quelle fut la surprise de la partie civile de
recevoir un courrier recommandée du prévenu
n°6 entrant en lisse et la garantissant
personnellement de lapplication de la
réglementations (voir annexe 7)
- Les faits dénoncés étant des
infractions à des législations et non
à des réglementation, ... Les
renseignements pris auprès des services de la
COURLY ont confirmée ce que la partie civile
savait déjà par la bouche même du
prévenu n°4 de labsence de permis de
construire quant aux deux adresses 3 et 16 rue
dAguesseau et de linstruction
bâclée et quant à la troisième
adresse .... puisque elle exerce son activité en
face directe du 14 rue dAguesseau.
- ... Elle se considère offensée,
lésée dans ses intérêts et
dans ses convictions quant au laxisme des officiers de
police judiciaire et à la fiabilité des
institutions de la République...
- Ainsi les prévenus 6 et 7 se confondent par
leurs écrits.
- La suspicion que ces prévenus ont prie part
active aux infractions au code de lUrbanisme fait
place a la certitude dans lesprit de la partie
civile, leur manquement à leurs devoirs de police
judiciaire ne fait quaggraver leur rôle actif
dans la conclusion des forfaits par la non constatation
des infractions et la non dénonciation au
ministère public et lattribution fautive de
permis de construire, alors que les procès verbaux
dinstruction de ces permis ne pouvaient ignorer
lexistence des infractions...
- La culpabilité des prévenus 6 et 7
devient une démonstration par labsurde : ni
leur qualité humaine, ni limportance de
leurs charges, ni la relation damitié et de
sympathie que la partie civile entretenait avec les deux
prévenus ne pouvaient présager le moindre
manquement de ces prévenus à la sauvegarde
de lintérêt général, de
lautorité de la loi et du prestige
des institutions... rien ne pouvait justifier ce
laxisme total et cette indifférence
défendue à coup de lettres
recommandées (voir annexes 20); leurs états
de services, leur notoriété (élus)
ne laissaient présager aucune possibilité
à des tergiversations, des renoncement à
leur devoir et à lapplication de la
loi....
- Les parties civiles affirment que le prévenu
n° 9 et son autorité de tutelle le
prévenu n° 10. Le représentant de
lEtat, cellule du contrôle de la
légalité, ne pouvaient se décharger
de leurs responsabilité sur le prévenu
n° 8 sans se compromettre (voir annexe 6).
INTRODUCTION DE LA PLAINTE LE 7 MAI
1996
- Les dates de constatation des infractions deviennent
celles des réunions des copropriétaires, le
syndic étant une autorité en soi, le
manquement à son devoir de syndic et de citoyen de
dénoncer les délits perpètres et
den empêcher dautres font que le
prévenu n° 5 prend part active aux faits et
en facilite laccomplissement.(annexes à
extraire au prévenu n°5 : extraits des
réunions des copropriétés)
- Elle introduit sa plainte auprès de monsieur
le doyen des juges dinstructions le 7 mai 1996
(voir annexe 8) et en fait part par lettres
recommandées aux principaux protagonistes. Les
prévenues 1. 6. 7. 8. lui en ont accuse
réception (voir annexe 9).
- La tergiversant du DJI quant à la nature des
faits (voir annexe n°10) ... refusant loffre
dauditionner la partie civile en
préalable...
- Ce qui na pas manque aux prévenus 1 et 5
de présenter des permis de construire pour les
lieux incrimines aux 3 et 16 de la rue dAguesseau
et de les obtenir ! (voir annexe n°13)
- Quant on sait que linstruction dun permis
de construire est obligatoire.... tout procès
verbal ne pouvait ignorer lexistence des
infractions... limplication des prévenus 6,
7 et 8 voir même toute autre personne ayant
aidé au retard des décisions
administratives adaptée devient
complicité.
- La période électorale de
lépoque appelait la partie civile à
une certaine réserve pour que son action ne soit
pas mal interprétée... du fait de la
candidature des prévenus 6 et 7 .
-
- Introduction de la plainte
supplétive
- La partie civile dans sa plainte supplétive
soumet les lois et jurisprudence qualifiant les faits
détermines et encore limites sans douter un
instant de la possibilité de se voir infliger une
consignation de trente mille francs dépassant la
moitié de son capital social pour des faits tous
positifs et à la portée de tout agent
instructeur sur une commission rogatoire.
- Larticle 88 du code de procédure impose
au juge dinstruction de fixer la consignation en
fonction des moyens de la partie civile.... mais surtout
quil pouvait len dispenser ... Dans
limpossibilité de consigner
lirrecevabilité ne faisait aucun
doute....
-
- INTRODUCTION DE LA DEUXIEME
PLAINTE
- Se basant sur des éléments nouveaux la
partie civile introduit sa deuxième plainte non
sans avoir transmis à linstruction les
éléments nouveaux: a savoir
lexistence de témoins, la délivrance
des permis de construire le 28 mai 1996 ....( voir annexe
n°13.)
- Elle fut sidéré dentendre
linstruction qualifier sa plainte de
fantaisiste...
- .... Limpossibilité de réunir les
fonds de la consignation quelle considère
alors comme abusive et fantaisiste force le choix de la
partie civile de ne pas consigner. ....
- la mise en demeure au doyen des juges
dinstruction
- La partie civile décide de mettre en demeure
les autorités dinstruction de
déférer à sa demande de consignation
nulle. Toute tergiversations allaient dans
lintérêt des auteurs initiateurs des
faits ..
- INTRODUCTION DE LA
TROISIÈME PLAINTE
- Une troisième plainte est alors introduite
avec lentrée en lisse de la partie civile
n° 2 en son nom personnelle tant des protagonistes
à agir dans lanarchie et
limpunité totale voir même la
lindifférence totale des
autorités.
- La consignation fut de trente mille francs pour
chacune des parties civiles.... comme les deux parties
civiles se confondent dans leurs identités, leurs
intérêts et leurs actions, la consignation
est légitimement assimilée à la
somme de 60 000 F, somme qui dépasse le capital
social et qui est hors des moyens des demandeurs.
-
- MOTIVATION DE LA CITATION
DIRECTE
- Les parties civiles comprennent la difficulté
de surmonter lobstacle de la consignation.....
- Elles décident le choix de laction en
pénal par la citation directe, la loi étant
lallie, le soutien et la sollicitude !
- Les questions de préjudices économiques
deviennent des interrogations sur la qualité des
personnes en charge du respect des lois et des
institutions
- Les dénonciations, les états
dâmes, les menaces, léetendu des lois
et jurisprudences, la menace précise contre les
officiers de polices judiciaires 6 et 7 impliquant les
prévenus 8 et 10 ... nont eu aucun effet
...
- Comment créer le sursaut chez les
autorités de contrôle, le retour de la
crainte de la loi ... la restauration des valeurs
républicaines, la pacification du milieu vital et
personnel des parties civiles et des esprits !...
- Se résigner à connaître la
tristesse profonde et la colère incontestable si
ce nest par les institutions de la
République, de subir
lhégémonie, subir les faits, subir
lanarchie, vivre la révolte... ou
disparaître ... Cen fut trop pour le simple
citoyen seul...
- Sans aucune des garanties fondamentales que la
République apporte à tous ceux qui
officient en son nom...
- Cet état desprit qui envahit le
représentant des parties civiles
dévoluer en milieu hostile et anarchique est
en soi un fait de droit positif .
- Le législateur offrant au citoyen
désabusé et abuse le privilège et
lhonneur de la citation directe en correctionnel...
les parties civiles par leur action rentrent dans un
temps de sérénité et de pacification
...
- ... Tant ce besoin de citation directe comme seul
issu pour faire valoir les droits des parties civiles est
en soi constitutif de fait positif et précis a
lencontre de quiconque aurait eu limpudence
de denier au simple citoyen le droit à une
instruction et à une justice paisibles et à
la paix civile et à la sauvegarde de sa personne
et de ses biens ......
- LOIS ET
JURISPRUDENCES
- - Jurisprudence : - Crim. 23 févr. 1977
: Bull. crim. n°73 et le 15 juin 1982 : ibid
n°159 : Lélément de
préjudice constitue par la perte dune chance
peut présente en lui-même un
caractère certain chaque fois quest
constatée la disparition, par leffet du
délit de la probabilité dun
événement favorable, encore que par
définition, la réalisation dune
chance ne soit jamais certaine
- - Art. L. 480 - 4 du Code de lUrbanisme
(L. n° 764285 du 31 dec. 1976)
- «Lexécution de travaux ou
lutilisation du sol en méconnaissance des
obligations imposées par les titres 1er, II, IV,
et VI du Code de lUrbanisme, par les
règlements pris pour leur application ou par les
autorisations délivrées en
conformité avec leurs dispositions, ou par les
autorisations ou déclarations concernant les
travaux, constructions ou installations», est punie
(L. n°924336 du 16 dec. 1992, ar. 322; L.
n°93421 du 27 janv. 1993) «dune amende
comprise entre 8 000 F et un montant qui ne peut
excéder, soit dans le cas de construction
dune surface de plancher, une somme égale
à 40 000 F par mètre carre de surface,
démolie ou rendue inutilisable au sens de
larticle L. 430-2, soit dans les autres cas, un
montant de 2 000 000 F»
- En cas de récidive, outre la peine
damende ainsi définie un emprisonnement de
six mois pourra être prononce».
- Les peines prévues à lalinea
précédent peuvent être
prononcées contre les utilisateurs du sol, les
bénéficiaires des travaux, les architectes,
les entrepreneurs ou autres personnes responsables de
lexécutions desdits travaux»
- - Art. L. 4214. du Code de lUrbanisme
(L. n° 8643 du 6 janv. 1986, art. 2)
«Quiconque désire entreprendre ou implanter
une construction à usage dhabitation ou non,
même ne comportant pas de fondations, doit, au
préalable, obtenir un permis de construire ....
Cette obligation simpose aux services publics.....
comme aux personnes privées. «le même
permis est exige pour les travaux exécutés
sur les constructions existantes, lorsquils ont
pour effet den changer la destination, de modifier
leur aspect extérieur ou leur volume
....»
- - Art. L. 480 - 1 du Code de lurbanisme
(L. n° 85-729 du 18 juillet 1985, art. 26)
«Lorsque lautorité administrative et,
au cas où il est compétent pour
délivrer les autorisations, le maire ou le
représentant de létablissement public
de coopération intercommunale compétent ont
connaissance dune infraction de la nature de celles
que prévoient les articles L..1604 et L. 480 - 4,
ils sont tenus den faire dresser
procès-verbal». (L. n°764285 du 31 dec.
1976) «Copie du procès-verbal constatant une
infraction est transmise sans délai au
ministère public».
- - Jurisprudences : Trib. adm. Rennes,
17 dec. 1980, Gueden, rev. jur. de lOuest, suppl.
1981 - 1, p. 44, n° 79. «Tout retard apporte
par ladministration à lobligation
quelle à désormais de dresser
procès-verbal, dès quelle à
connaissance dune infraction, et de le transmettre
sans délai au ministère public, est
constitutif dune faute.
- Cons. dEt. 4 janv. 1985, Ste
Reynoird, n° 22240 et 40358 : En cas de construction
sans permis, le maire est tenu de prescrire
linterruption des travaux après un P.V.
dinfraction
- Trib. adm. Paris, 8 juill. 1986, Ste
comptoir financier dinvestissement, Rec. tables, p.
763 : «Ladministration ne saurait
différer dans lintérêt du
contrevenant létablissement dun
procès-verbal et sa transmission au
ministère public».
- - Art. 383 Code de proc. pen. : La
compétence à legard dun
prévenu sétend à tous
coauteurs et complices.
- - Art. 121-2 du Code pénal : ... La
responsabilité pénale des personnes morales
nexclut pas celle des personnes physiques auteurs
ou complices des faits.
- -Art. 131 - 38 du code pénal : Le taux
maximum de lamende applicable aux personnes morales
est égale au quintuple de celui prévu pour
les personnes physiques par la loi qui réprime
linfraction
- Jurisprudences Crim. 19 mars 1992,
barberous, D. 1992 IR. 230; Léventuelle
obtention dun permis de construire alors que la
construction à déjà
été entreprise naffectera pas
linfraction
- Crim. 25 janv. 1961, ibid., n° 51 ... pas
plus que la délivrance dun certificat de
conformité.
- Crim., 8 dec. 1993 Kiffer, cite par Lachaume
note D. 1995. Somm. 61. «Lorsque louvrage
édifie nest pas un ouvrage public, sa
destruction peut être ordonnée par le juge
pénal»
- - Art. 121 - du code pénal : Est
complice dun crime ou dun délit la
personne qui sciemment, par aide ou assistance, en
à facilite la préparation ou la
consommation....
- Est également complice la personne qui par
don, promesse, menace, ordre, abus dautorité
ou de pouvoir aura provoque à une infraction ou
donne des instructions pour la commettre.
- - Art. 464 du Code de procédure pen. :
Si le tribunal estime que le fait constitue un
délit, il prononce la peine. Il statue, sil
y à lieu, sur laction civile, et peut
ordonner le versement provisoire, en tout ou en partie,
des dommages - intérêts alloues. Il à
aussi la faculté, sil ne peut se prononcer
en lEtat sur la demande en
dommages-intérêts, daccorder à
la Partie civile une provision, exécutoire,
nonobstant opposition ou appel. -pr pen. C.
631
- - Art. 4324 du Code pénal : Le fait,
par une personne dépositaire de
lautorité publique, agissant dans
lexercice de ses fonctions, de prendre des mesures
destinée à faire échec a
lexécution de la loi est puni de cinq ans
demprisonnement et de 500 000 F damendes
-
-
-
- PLAISE AU TRIBUNAL
-
- 1 - De recevoir le dossier des écrits
éléments de preuves soient 26 annexes
répertoriées et numérotées.
Den recevoir 12 copies destinées aux
prévenus, charges à eux den
vérifier la concordance avec les pièces
remises au tribunal comme authentiques.
- 2 - Dordonner aux prévenus de fournir
chacun tous les éléments indispensables
à la manifestation de la vérité et
qui sont en leur possession, à savoir
- - Prévenus n° 1, 2 et 4 :
- Les identités des ouvriers ou
entreprises ayant procédé à la
réalisation des travaux : 1 - - -- Ouvrier
dorigine maghrébine se
prénommant Farid
- - le propriétaire de la camionnette Ford
Transit blanche immatriculée 8932TC69
à la date du 20 octobre 1996
- - Le propriétaire de la Peugeot 309 GL
immatriculée 8244 TD 69
- prénommé Eric... à la date
du 20 octobre 1996
- par lextrait du livre du personnel de
lentreprise de M. TOLLET
- par la fourniture spontanée des factures
: de sous traitance, de location de
matériels de chantier, de location de
bennes, dautorisation doccupation du
domaine public.
-
- - Prévenus n° 6 et
8
- Les copies conforment :
- - des permis de construire
- PC - n° 69 - 387 - 97 - 264
délivré le 28 mai 1997
- pc - 69-387-97-00265-0
délivré le 28 mai 1997
- PC 693-.387.96.00343.
délivré le 31 10 1996
- - des pv dinfraction les concernants
- - des pv dinstructions les
concernant
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