Puis satisfait de la brièveté de son
instruction prétendant que le «juge
dinstruction na pas que cela à
faire», Il tente de clôturer le procès
verbal. Lorsque la partie civile linforme
quelle a des documents à verser dans le
dossier dinstruction, Il répond : «le
juge dinstruction nest pas une poste, il faut
envoyer les documents par lettre recommandée»
- Lorsque la partie civile insiste que ces documents
sont une plainte supplétive contre sept
magistrats régulièrement introduite
devant le premier président de la Cour
dAppel et quelle porte les sceaux de celui-ci
celui du Procureur général,
Il les prend et les
jettent à terre.
La partie civile les ramassa humblement et
sereinement. Elle lui déclara son extrême
sensibilité et sa capacité à
comprendre la délicatesse et la difficulté
de la procédure correctionnelle dont il est saisi
il répond : - «arrêter de tout
comprendre»
Puis, il se ravisa et daigna y jeter un coup
doeil furtif. Prenant conscience de la la
gravité de son geste et après un moment
dembarras apparent il
informe la partie civile de lexistence dun
réquisitoire du parquet contre elle visant son
expertise psychiatrique.
Interloquée par
cette aberration la partie civile est restée coite
Laccusé n°12 se croit alors
autorisé à faire inscrire dans le
procès verbal de linstruction, un
commentaire personnel et un descriptif de ce
silence-émotion-indignation. (illégalement
car le juge dinstruction ne peut consigner ses
impressions dans un procès verbal en
première audition)
Attitude qui lui a valu
linterjection :
«ça
suffit maintenant» !
Puis, il persiste à poser la question sur la
santé mentale de la partie civile, insistance qui
le déshonore et qui est retenue ici par la partie
civile comme adhésion du magistrat instructeur
à la coalition des magistrats conspirateurs contre
la mise en mouvement forcé de laction
publique et qui qualifie le chef daggravation de
labus dautorité et du trafic
dinfluences matérialisé par le
procès verbal de linstruction ( art.
431-2 du Code pénal)
Il sinquiète à la demande du
Parquet dans son réquisitoire de la
réaction de la partie civile au fait que le
Parquet préconise sa condamnation évidente
à une amende civile pour absence
dinfraction et classement sans
suite.
La partie civile saisit loccasion, (par
la force de la procédure et lobligation de
consigner la réponse à une question
posée par le JI) et lui remet la plainte
supplétive quil venait de jeter à
terre cinq minute auparavant, et lui confirme que les
magistrats du Parquet et du TGI sont
régulièrement mis en accusation pour abus
dautorité et trafic dinfluence., recel
de défaut de permis de construire.
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La partie civile qui avait préparé la
constitution de partie civile de la société
Dynaventes Dynaflon Dynapub, es qualité de
représentant légal, actionnaire et
fondée de pouvoir na pas eu le temps de le
faire car le juge dinstruction, certainement par
dépits, a déjà ordonné la
clôture de procès verbal, limpression
des copies, les a déjà signé avant
même de les présenter à
lapprobation de la partie civile à
lorigine de la mise en mouvement de laction
publique.
A la réflexion que la partie civile prend acte
que linstruction durera un an... il répond :
«je prendrai une ordonnance»
Les malveillances auraient pu sarrêter
à ce niveau : Cétait sous
estimer la velléité dagir de la
coalition des magistrats conspirateurs, à laquelle
sest joint le magistrat instructeur, de faire
obstacle à laction publique mise en
mouvement qui anime lensemble des magistrats du
parquet et du TGI de Lyon, menés de toute
évidence par laccusé n°1 : le
président du TGI!
Laccusé n°12 prend
lordonnance illégale
dirrecevabilité de la partie civile à
lorigine de la mise en mouvement de lAction
Publique, sur réquisitoire illégal
du parquet, certainement après
conférence de la coalition, pris
certainement par le même magistrat auteur du
réquisitoire infamant désormais
célèbre.
Comme toutes les initiatives que les magistrats ont
pris depuis la mise en mouvement de laction
publique, ils ne pouvaient ni les uns ni les autres
écarter la partie civile de la
procédure alors quelle est à
lorigine de louverture de linformation
judiciaire supplétive contre les sept
magistrats visés dans la plainte supplétive
avant même de lentendre dans ses nouvelles
accusations.
Il savère maintenant que par
accusés (x) il fallait comprendre des malfaiteurs
de la taille et du rang des magistrats.
...
Il saffaire dans ses motivations dans une
étude fallacieuse et
délibérément incompétente :
celle de séparer les intérêts de la
partie civile de ceux de la société SARL
dans laquelle elle est gérante actionnaire. et
donc directement intéressée par la perte
dexploitation. (voir le paragraphe
davant)
Le magistrat instructeur, vice président du
TGI, en voulant écarter de la procédure la
partie civile à lorigine de la mis en
mouvement de laction publique pour la
deuxième fois obéit aveuglement aux
directives reçues de la coalition de
malveillances.